820
mille
hectares
se sont consumés au Portugal en
4
ans.
(l'équivalant
de
820
mille
stades
de
football).
Pendant
la
seule
année 2003, plus
de
420
mille
hectares
sont
partis
en
fumée,
entraînant
la
mort
de
20
personnes.
Depuis
le
début
de
cette
année
2005
et
jusqu'à
aujourd'hui (18
juillet
2005),
les
pompiers
ont
déjà
dû
combattre
2.548
incendies.
On
dénombre
actuellement
136
pompiers
blessés
et
un
tué.
De
nombreux
autres
incendies
sont
encore
à
redouter,
d'autant
plus
la
sécheresse "extrême" ou "sévère" touche 97% du territoire portugais, en
raison de la quasi-absence de pluie depuis le mois d'octobre
2004.
Cette
sécheresse
ne
sera cependant
qu'un
facteur
aggravant
car
le
fond
du
problème
engendrant
ces
catastrophes
irréversibles
réside
ailleurs,
et
ce
chaque
année
depuis
plus
de
20
ans.
Voir
la
lettre
ouverte
écrite
en
août
2004
à
l'intention
du
premier
ministre
d'alors
>
Le
libellé
et
le
fond
de
cette
lettre
demeurent
plus
que
jamais
d'actualité.
Il
existe
une
solution
préventive,
radicale,
non
coûteuse
pour
l'Etat, efficace,
et
qui
plus
est
génératrice
d'emplois
et
favorable
au
développement
de
l'économie
portugaise,
permettant
d'enrayer
une
fois
pour
toutes
ces
catastrophes
inacceptables.
Si
c'est
souvent
facile
à
dire,
c'est
parfois
facile
faire.
Encore
faut-il
que
les
hommes
politiques
au
pouvoir
acceptent
au
moins
une
fois
dans
leur
vie,
d'être à
l'écoute
des
solutions
potentielles
n'émanant
pas
des
hautes
sphères.
Voir incendies fin juillet >